La CNIL a estimé, lors de sa séance du 17 février 2005, que des personnes physiques peuvent être prospectées par courrier électronique à leur adresse électronique professionnelle sans leur consentement préalable, si le message leur est envoyé au titre de la fonction qu´elles exercent dans l´organisme privé ou public qui leur a attribué cette adresse. (exemple : message présentant les mérites d´un logiciel comptable à paul.pierre@nomdelasociete.com, directeur financier).
Quand aux emails professionnels dits génériques de type : info@nomsociete.fr, direction@nomsociete.fr… Il s´agit de coordonnées de personnes morales et donc à ce titre, ne sont pas soumises aux principes du consentement et du droit d´opposition.
Pour être en conformité, chaque message électronique doit obligatoirement :